Le trafic d’espèces protégées est le troisième trafic le plus lucratif au monde derrière le trafic de stupéfiants et d’armes, représentant jusqu’à 23 milliards de dollars par an. Il est également l’un des principaux facteurs d’érosion de la biodiversité .
La France joue un rôle majeur dans ce phénomène, puisqu’elle est à la fois pays d’origine, de destination et de transit pour ce trafic. L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) affirme que le pays figure « parmi les principaux Etats importateurs d’espèces sauvages destinées au marché européen, mais aussi l’un des principaux points de sortie ». Ainsi, avec plus d’un millier de saisies, la France figure en deuxième position dans l’Union européenne, derrière l’Allemagne.
Le trafic d’espèces représente plusieurs risques, au regard :
- Du bon état de conservation des espèces
- Du risque sur la faune du pays d’export
- Des risques sur la santé humaine
- Du risque pour le bien-être animal
Face au constat de l’effondrement de la biodiversité, souvent qualifié de 6ème extinction de masse , ce trafic doit être endigué.
Source - FNE
La France joue un rôle majeur dans ce phénomène, puisqu’elle est à la fois pays d’origine, de destination et de transit pour ce trafic. L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) affirme que le pays figure « parmi les principaux Etats importateurs d’espèces sauvages destinées au marché européen, mais aussi l’un des principaux points de sortie ». Ainsi, avec plus d’un millier de saisies, la France figure en deuxième position dans l’Union européenne, derrière l’Allemagne.
Le trafic d’espèces représente plusieurs risques, au regard :
- Du bon état de conservation des espèces
- Du risque sur la faune du pays d’export
- Des risques sur la santé humaine
- Du risque pour le bien-être animal
Face au constat de l’effondrement de la biodiversité, souvent qualifié de 6ème extinction de masse , ce trafic doit être endigué.
Source - FNE